L’animal qui cache la forêt : quand nos sens priorisent ce que l’on perçoit
Le concept de cécité botanique a été décrit en 1998 par deux chercheurs, James Wandersee et Elisabeth Schussler. Parce que les plantes ne bougent pas comme le font les animaux et n’ont pas de visage, elles apparaissent souvent au second plan de nos perceptions… et donc de nos réflexions. La biologiste Catherine Lenne travaille et […]